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 Merle Sanders - Too old to die young. [Terminée '^']

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Merle Sanders
Merle Sanders
Points : 10
Écrits : 2
Est arrivé le : 01/07/2013
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MessageSujet: Merle Sanders - Too old to die young. [Terminée '^']   Lun 1 Juil - 17:23





Nom : Sanders
Prénom : Merle
Âge : vieux 39 ans
Sexe : Monsieur
Métier : Boss d'une 'entreprise' obscure localisée au Mexique
Statut : Mercenaire
Orientation Sexuelle : Héterosexuel



Merle Sanders

« I intend to live forever - so far, so good. »




Physique


Taille : 1m89
Poids : 81 kg de muscles du moins c'est ce qu'il clame
Corpulence : Athlétique
Cheveux : Noir, toujours coiffés en arrière soyeux comme la crinière d'un p'tit poney tout doux
Yeux : Brun ambré
Forme du nez : Cassé à deux reprises -je vous laisse imaginer.
Forme du  visage : Anguleux
Torse / Poitrine : Dénué de boobs, en tout cas.
Musculature : Prononcée
Style vestimentaire : Classy as fuck Toujours classe et généralement incompagné d'un long manteau sombre bordé de vraie fourrure posé sur les épaules.
Particularités : Une cicatrice traversant son visage et un cigare entre les dents.



Mental


Pour être le Boss, il faut une poignée de capacité ; à commencer par celle d’imposer le respect. Ça ne sert à rien d’essayer de se faire aduler de tous : non, pour garder une autorité total, il faut être craint. Merle y arrive plutôt bien, autant par ses actions complètement aléatoires et imprévisibles que par son allure. Ses actes dépendent à peu près toujours de quel pied il s’est levé le matin –une chose aussi banale que cela- : un jour, il se sentira peut-être assez miséricordieux pour vous laisser filer. Vous auriez croisés son chemin jeudi dernier, il aurait vite fait de vous offrir un deuxième trou de balle. Ça n’a rien de stratégique : cette versatilité n’existe que parce que le Boss est une girouette complètement dingue.
Inconscient aussi. Du genre à prendre des risques inconsidérés et surtout à sous-estimer ses adversaires. Cela vient de sa logique complètement débile : c’est plus fun quand on ne planifie pas. Un truc qui finira sans doute par avoir sa peau, mais au moins il se sera bien marré avant.
Parce qu’un affrontement, c’est ludique à ses yeux. Autant l’échec le rend dingue, autant un beau combat –même perdu- ne sera jamais une perte de temps pour lui. Il aime se battre, le bougre ! Etrangement, lui déboiter la mâchoire n’attirera pas sa rancœur. Au contraire, il vous félicitera sans doute pour ce splendide mawachi geri, avant de vous coller une droite monumentale. Par contre, si tout cela se fait longuet, il n’hésitera pas à abréger l’affrontement de la manière la plus déloyale possible. Le temps, c’est de l’argent les enfants, et Merle chéris ses p’tit billets.

Une chose que Sanders aime aussi est rire des choses pas drôles, encore plus si c’est un horrible désastre à l’échelle humaine ou la ruine d’un état tout entier. Par contre, si sa gamine s’écorche le genou, il va en faire un drame dont Corneille serait jaloux. Car en dessous de son masque d’impitoyable trafiquant, on voit un père complètement permissif et sans aucune autorité sur sa progéniture. Les désirs de mademoiselle sont des ordres et quiconque posera la main dessus… Passera un sale quart d’heure, ou plutôt de longues heures de torture. La phrase ‘Un jour mon prince viendra et mon père le fracassera’ colle parfaitement à leur photo de famille.

Sa gamine, c’est un peu son point faible, la corde sensible, la seule personne à pouvoir ébranler sa grande silhouette. Son souci permanent pour elle prouve bien qu’il est capable de ressentir de l’anxiété. M’enfin, ces derniers temps, c’est plutôt de la rancune qu’il éprouve envers elle. Merle ne laisse jamais un tort sans sanction et tôt ou tard celle-ci tombera. Mais avant cela, il aura pris le temps de bouder longuement dans son coin comme un gosse.

Mais comme tout adulte qui se respecte –ou du moins, les seuls qui méritent son respect-, son amour de la culture n’a pas de limite. Musique classique, opéra, littérature bourrée de descriptions interminables et barbantes, Histoire avec un grand 'H' … Il faut l’avouer, le Boss est légèrement Kitsch dans l’âme. Vieillot, à son image. Tout à fait du genre à posséder un tapis en peau d’ours et une tête de cerf empaillée au-dessus de sa cheminée.
Merle sait aussi apprécier les échanges avec les autres têtes pensantes, du moment qu’elles pensent dans le même courant que lui et qu’elles ne le contredisent surtout pas, bien sûr. Sanders n’a jamais tort. C’est lui qui l’a déclaré, donc ça doit être vrai.






My Story




On raconte pleins d’histoires dans La Villa. La plupart basée sur des rumeurs, plus ou moins crédibles. Ici, des choses de dingues arrivent, dur de juger ce qui est vraisemblable ou non.
Par exemple, il est dur de croire que le Cartel de la drogue fournit trois fois plus de travaille que la compagnie pétrolière du coin. Cultivateurs, surveillants, passeurs, tueurs mais aussi médecins, avocats, ingénieurs, pilotes d’avion ; des emplois multiples et variés, mieux rémunérés que dans la vie légale. Personne n’est épargné. Ça fait un paquet de pion et surtout un sacré trafique. Un trafique qui rapporte sacrément beaucoup de blé.

J’travaille pour le Boss depuis seulement quelques années ; assez longtemps pour avoir vu des choses ahurissantes. Pour remonter aux origines, il faut réussir à faire parler les plus anciens : les types qui sont là depuis les débuts de monsieur Sanders, voir avant. Les gens n’aiment pas trop les curieux dans le coin, mais personne ne résiste à l’envie de propager les ragots. La version qui m’est le plus souvent revenue est que l’ancien Boss, Esteban Castelanno, voulait passer ‘l’entreprise’ à une vieille connaissance, mais qu’elle a claqué avant. Une affaire sombre qui s’est peu ébruitée. Un règlement de compte, un assassinat, un accident… Personne ne sait réellement ce qui s’est passé : la seule chose sûre, c’est que la madame a été retrouvée la tête sur le volant de sa voiture, sans vie. L’interminable son du klaxon où s’appuyait son front, pareil à un ultime cri, a raisonné dans la rue jusqu’à ce que les flics rappliquent, à vous glacer le sang ‘paraît. Des rumeurs disent que son gamin se trouvait pas très loin de là. On ne sait même pas pourquoi ces deux-là étaient amis, ni d’où il se connaissait. La différence sociale était trop grande, ils ne jouaient pas dans la même cour. Certains disent même que c’était une putain ; j’préfère personnellement pas poser de jugements sur les histoires de famille d’mon patron. Reste que le vieux se serait rabattu sur Sanders junior, une sorte de fils de cœur à ses yeux. C’est ainsi que Merle aurait hérité de tout ce joyeux bordel : un sacré cadeau pour un gamin issu du prolétariat. Cette soudaine ascension sociale lui a sacrément monté à la tête, j’vous raconte même pas. On s’étonne moins de le voir aussi excessif quand on se dit qu’il s’est retrouvé dans le luxe du jour au lendemain.

Mais y’a une chose plus effrayante que le Boss. Un être sans foi ni loi qu’absolument rien ne peut arrêter. J’ai essayé d’arracher l’information à mes confrères, mais rien à faire : personne ne connaît son véritable nom. Nous, on l’appelle ‘Mademoiselle Sanders’ ou juste ‘Mademoiselle’. Le patron l’appelle Baby Cakes, Baby girl, Baby Doll, Baby, Dolly, Sunny, Sunshine, Chickadee, Sweetie, Sweetheart, Pumpkpin, Cutie Pie, Dove, Goldie, Kitten, Princess et j’en passe. En arrivant ici, je pensais jamais entendre ces mots sortir de la bouche du boss … On ne sait même pas comment sa gosse fait pour se reconnaître quand il l’appel. Si ça se trouve, son vrai prénom est caché au milieu de ces surnoms mielleux au possible. Les gars et moi, on pense que ça doit commencer par ‘B’, parce que les plus récurrents commencent avec un ‘Baby’.
Bref, la vraie Reine de La Villa, c’est elle. Le patron ne fait pas le poids face à sa fille : pour dire, paraît qu’à six ans, la petite lui a sauté à pied joint sur la tronche et lui a défoncé le nez. Le pire, c’est qu’il ne s’est même pas énervé. Je vous le dis : la gamine exerce un pouvoir total ici. Elle veux un sandwiche de son papa ? Monsieur interrompt une séance entière pour aller lui en faire un. Elle veut un poney ? Pourquoi pas un ranch, chérie ? Elle s’ennuie la nuit ? Pas de problème, elle vient sauter sur son papa pour le réveiller. Ça, je peux vous dire que ça tient de l’exploit. Paraît qu’un pauvre type a essayé d’aller le réveiller un matin pour quelque chose de vraiment urgent : le malheureux aurait passé directement par la fenêtre. Du DEUXIEME ETAGE. Quand on sait cela, la p’tite ‘Baby Cakes’ fait sacrément peur. Des collègues l’ont vue jouer avec ses poneys en plastique et gribouiller des arcs-en-ciel sur la table de réunion, comme si de rien n’était.

Par contre, personne ne sait qui est –ou était- madame Sanders, même les plus vieux n’en aurait qu’un vague souvenir. Une jeune femme discrète apparemment, amie d’enfance de son mari. Il devait appartenir à la même caste sociale, sans doute. Reste que la bonne femme a tout bonnement disparut peu après la naissance de sa fille. Elle s’est volatilisée dans des circonstances mystérieuses, pouf, évaporée. On n’aurait presque pas remarqué son absence, et pourtant, elle aurait laissé un vide dans La Villa. Une présence cachée manque, une ombre dans le couloir, une silhouette devant la fenêtre. Cette nana est presque devenue un mythe, une histoire de fantôme, La Calavera Catrina, vous voyez ?

Et l’histoire semble inexorablement se répéter. Un beau matin, plus de signe de ‘Baby’. Partie du jour au lendemain, sans un mot, et surtout avec les trois quarts de la fortune de son paternel, sa voiture et l’un des hybrides bossant là. Ça n’avait rien d’un enlèvement : quel genre de Kidnappeur s’en prend directement au Cartel et emporte avec lui les affaires de sa victime ? Non, ‘Baby Doll’ a surtout pété une durite et s’est cassée sur un coup de tête. Elle pensait peut-être que son papa laisserait tout passer, même ça. Mais cette fois, elle avait dépassé les bornes. J’avais jamais vu le Boss dans une colère aussi noire : je ne pensais même pas qu’un humain pouvait soulever un bureau en bois massif et le défenestrer aussi facilement. Après un véritable raz-de-marée, il s’est enfermé pendant bien trois jours entiers, à ruminer son désarroi en fumant cigare sur cigare. Les gars et moi, on n’a pas osé le déranger, alors on a commencé à chercher de notre côté où la demoiselle avait pu filer.

Monsieur Sanders était enfin sorti de ses quartiers. On avait réussit à trouver où sa fille se dirigeait, notamment à cause des relevés bancaires scandaleux qu’elle laissait derrière elle, dont la facture d’une suite de luxe à Vegas tout à faut scandaleuse. On a tiré à la courte paille pour lui annoncer tout cela et j’ai perdu. J’ai jamais autant haït le sort. Du coup je me suis occupé de lui donner la ville où allait la poulette, non sans bégayer comme un paumé et manquer de tourner de l’œil. Il y eut un long silence, puis il a souri et posé sa main sur mon épaule. J’ai vraiment cru que j’allais finir comme son bureau –dont on n’avait même pas fini de ramasser les morceaux-. Mais rien. J’ai rouvert mes paupières, le Boss était déjà en route. La chasse était officiellement ouverte.

.
.
.

On est enfin arrivé à bon port. On, c’est moi, quatre autres gars, le chauffeur et monsieur Sanders. J’ai de la peine à croire que le patron m’ait choisi pour l’accompagner, comme quoi la poisse me colle à la peau. J’aurais sérieusement préféré rester au Mexique, même si on meurt de chaud là-bas. Je n’ose pas imaginer la raclée que va se prendre sa gosse quand on lui tombera dessus ; certains disent qu’il va lui tordre le cou, d’autre qu’il va plutôt l’écorcher vivante ou la donner en pâture à des tigres. J’ai beau la craindre, je ne lui souhaite pas de finir comme ça. Et je trouve ça très improbable : le Boss ne le montre peut-être pas, mais on voit bien qu’il est perdu sans elle. Enfin, improbable, improbable… Ça ne veut rien dire avec lui.

Moi, je pense que c’est plutôt l’hybride disparut qui passera un sale quart d’heure, ou n’importe quel bestiole du genre qui se trouvera sur son chemin dans les prochaines semaines. Ça ne m’étonnerais même pas que la fourrure des manteaux du Boss soit fait en peau d’hybride… Du moins, il s’en ferait sûrement un prochainement.
Je me suis permis de demander à monsieur Sander pourquoi il avait pri un fusil de chasse. Il a juste souri.

Moi, ça me fait flipper quand il sourit.






Qui es-tu ?



Je me présente, je m'appelle [REDACTED] mais on me connait plutôt sous le nom de Pistache et je suis âgée de 16 ans -moins quatre jours-. Le personnage que j'occupe sur ce forum est Sir Crocodile de One Piece , et j'écris environ une page Word et demie (parce que je ne compte pas mes lignes 8D) en RP. J'ai trouvé Hybrid Fascination grâce à Eska et je le trouve rose . Pour finir, je vous poulpe .

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Merle Sanders
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MessageSujet: Re: Merle Sanders - Too old to die young. [Terminée '^']   Mar 2 Juil - 19:02

Double-post pour signaler que j'ai fini ♡
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Thresh
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MessageSujet: Re: Merle Sanders - Too old to die young. [Terminée '^']   Mar 2 Juil - 19:39

Welcome. ♥
Attention aux petites fautes inattentions dans les dernières phrases de ton histoire. '^' - que j'ai beaucoup aimé d'ailleurs. -

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Aldenör
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MessageSujet: Re: Merle Sanders - Too old to die young. [Terminée '^']   Jeu 4 Juil - 15:11

Bienvenue à toi sur le forum ♥

... Un mercenaire DDD:
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MessageSujet: Re: Merle Sanders - Too old to die young. [Terminée '^']   

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