La vie malheureuse d'une jeune fille... une vie indigne d'un être humain, une vie rude, une vie couleur noire et couleur sang... Ma vie.

J'avais quoi... sept ans ? Seulement sept petites années lorsque ma vie à changer... Comme toute les petites filles heureuses j'avais des parents heureux et une belle maison avec un petit jardin... j'avais même un chat ! Enfin je menais une petite vie heureuse jusqu'à présent, je vivais dans la banlieue d'une petite ville du Japon ou il n'y avait pas d'ennuis, seulement un calme relatif... du moins c'est ce que je croyais.

Le début de la fin s'est manifesté sous une seul forme : le feu. J'étais alors en train de faire la tournée des magasins lorsque tout ceci était arrivé, les commerçants me connaissaient bien et ils avaient l'habitude de voir une petite fille de sept ans en train de trainer dans leurs boutiques... Ils m'offraient parfois un petit quelque chose, mais tout les petits quelques choses du monde n'aurait pas suffit à m'apaiser quand j'étais rentrer chez moi... du moins quand j'avais essayer de rentrer chez moi.

Des colonnes de fumées s'échappaient de toute les pièces de ma maison, le petit jardin était en cendre et les murs étaient écroulés à certain endroit... j'avais crié de toute mes forces en voyant le lieu ou j'avais passé ma vie disparaître peu à peu... avec mes parents dedans. Les hommes en tenue rouge étaient venu avec beaucoup d'eau pour éteindre la maison... mais je ne voyais toujours pas mes parents. Mon petit cerveau n'arrivait pas à comprendre que j'avais perdu ceux que j'aimais... Bien sur tout les commerçants du quartier s'étaient proposés pour m'hébergé, et j'étais aller chez l'épicier du coin, un homme d'une trentaine d'année qui avait toujours plein de problèmes et il était couvert de dette, mais il était gentil.

Les années se succédaient lentement lorsque j'avais vu ce que je n'aurais pas du voir, l'épicier était vraiment un homme très gentil mais un jours des hommes tout noirs étaient venus chez lui et avaient tous cassés... Sur le coup je n'avais pas saisis bien que je savais ce qui se passais sous mes yeux, seulement, à l'âge de 12 ans, on n'arrivait pas à croire qu'un meutre se passait juste sous nos yeux... L'épicier avait été brutalement abattu sous mes yeux et les hommes en noir allaient partir... sauf que l'un d'eux m'avait vu et avait pointé son canon vers moi puis il l'avait baissé et avait crier quelque chose à son collègue en noir.

Je m'étais retrouvé dans un sac en toile usé et poussiéreux. J'étais en train de me faire kidnapper par les tueurs de l'épicier... où allaient-t'ils m'emmener ?
Le bruit d'une voiture, la puanteur d'un moteur et les vibrations des roues contre une route en mauvais état... visiblement je quittais la ville, mais j'étais toujours dans ce minuscule sac, plongée dans le noir complet.

On m'avait brutalement sortis de mon réveil, oui, réveil, car j'avais finalement réussis à dormir dans ce sac après avoir passé près d'un jour sans boire ni manger à l'intérieur. Il se trouvait que les hommes en noirs étaient des hommes qui avaient eux mêmes peurs d'autres hommes en noirs beaucoup plus imposant. En réalité j'étais, avec eux, dans un petit batîment paumée dans une plaine déserte. Bizzarement, ils s'étaient révélés sympathique avec la petite fille de 12 ans que j'étais à l'époque. J'avais appris qu'ils s'appelaient Hayate et Léo et je n'avais plus eu à les craindre depuis ce jour.

Ils m'avaient gardés avec eux et m'avaient enseignés leur travail, qui n'exigait que rarement la mort de quelqu'un... Au début j'avais eu très peur puis ils m'avaient expliqués que des gens leurs devaient de l'argent et qu'il devait allait le cherché à ceux qui ne voulait pas le rendre. J'avais compris que l'on faisait quelque chose de bien, un peu comme la police, mais en plus... directe. On m'avais donc enseigné le maniement des armes, ce qu'il se passait "sous le manteau", plein de chose du genre. Tout ça jusqu'à mes 18 ans, ou ils m'avaient abandonnés dans une ville où j'avais appris plus tard qu'elle s'appelait Kogame.