Imperia ipse morietur. Que la chute te soit douloureuse.

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 Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]

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Kitsu Senkô
Kitsu Senkô
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MessageSujet: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Ven 16 Aoû - 6:30





Nom : Senkô
Prénom : Kitsu
Âge : 19 ans
Sexe : Mâle. ~
Race : Kitsune.
Statut : Free hybrid. ~
Orientation Sexuelle : Bisexuel.



Kitsu Senkô

« Freedom is not for sale. »




Physique


Taille : 1m70.
Poids : 42 kilos.
Corpulence : Fin & menu.
Cheveux : Châtain. ♫
Yeux : Dorés.
Forme du nez : Petit & pointu.
Forme du  visage : Triangulaire.
Torse / Poitrine : Plat, pas très.. Musclé.
Musculature : Plutôt faible.
Style vestimentaire : Décontracté.
Particularités : Androgyne. Un peu. Sinon, il a un piercing à l'oreille. '-'
Atouts Animal : Deux grosses oreilles, des griffes et des crocs. >3



Mental


Faut pas se leurrer. Kitsu il est un peu taré dans sa tête. La vie qu’il a eu lui a appris à ne faire confiance à personne ou presque, mais il sait s’amuser. Complètement sauvage, aucun humain ne pourrait le dompter, c’est clair, net & précis. Beaucoup ont essayé, et ils ne sont plus là pour vous le confirmer, ou du moins la plupart. Mais concentrons-nous sur l’intérieur du crâne de ce renard andro’.

Déjà, il aime pas les soumis. Pour lui, ils sont ignobles & font honte aux hybrides. Sérieusement, se soumettre à un humain alors qu’on peut les tuer ? Idiot & inutile. Ca lui donne la gerbe, et il ne manque pas de le montrer. Sinon, sous sa petite bouille de kitsune tout mignon, c’est une boule de griffes qui n’hésitera pas une seule seconde à charcuter ceux qui l’emmerderont.

Il dort beaucoup, Kitsu. Genre vraiment beaucoup. Discrètement, la plupart du temps. Dans un arbre, une souche, ou juste sur l’herbe. Il est pas très pudique, donc il se fout d’se mettre à poil si y a quelqu’un d’autre avec lui. Après tout, il a été crée nu… Bon ok logique de merde. Bref, passons plus loin.

Le petit chevelu n’est plus très sain dans sa tête, et je crois que ses capacités à aimer quelqu’un sont quasiment nulles. Si ça arrivait… Cette personne serait sûrement victime de griffures et de morsures à la moindre boulette. Enfin bon, disons juste que Kitsu n’est pas le plus aimant des hommes. De plus, il a un physique pas mal féminin, dans le sens où lorsqu’il était petit, tous ceux qu’il croisait pensaient qu’il était une fille, et que cette particularité est restée.

Mais il n’est pas une petite chatte sensible qui chiale dès qu’on lui colle une baffe, non. D’ailleurs, il déteste ce genre d’individu. Ouais bon il déteste pas mal de choses. Faut dire que pour lui, les hybrides sont supérieurs aux humains. Ou en tout cas, ceux qui sont des prédateurs, pas des petits lapins tout mignons, évidemment.

Insolent, ça c'est sûr. Susceptible, un chouia, c'est normal, il se sent parfait. Non j'déconne. Disons juste qu'il n'apprécie pas qu'on se foute de sa gueule, et que généralement, ça finit en bain de sang. Il n'est pas patient, loin de là. Il n'attendra pas tranquillement qu'on lui réponde, par exemple.

Kitsu sait se servir de ses atouts de renard, et n'hésite pas une seule seconde à le faire, innovant entre coups de crocs, de griffes voire même de tête. Quand il a les mains liées, il enverra sans hésiter son crâne contre celui responsable de son incapacité à se servir de ses griffes.

La phrase préférée de Kitsu, qui définit bien sa façon de penser, c’est « La liberté n’est pas à vendre. » ce qui explique en partie pourquoi il n’aime pas les soumis. Tcht’.

En gros, faut pas l'emmerder, le Kitsune.





My Story



« Kitsu, vas-t-en ! »

Tu sursautas. Ta mère venait de hurler à s’en briser ses cordes vocales, un cri désespéré et plein de souffrances. Tu te retournas brusquement, et sentit un grondement animal provenir tout droit de ta poitrine. Deux humains la tenaient par les bras, la maintenant à genoux. Tu eus un mouvement agressif dans l’intention de les déchiqueter comme de vulgaires carpettes, mais ils appuyèrent sur les épaules signe qu’ils pouvaient les briser si tu faisais quoi que ce soit. Du haut – Ou plutôt du bas – de tes cinq ans et demi, tu ne savais pas quoi faire.

« Ma.. Maman … »

Son sourire triste te déchira en deux, et tu vis dans son regard qu’elle savait ce qu’elle allait subir. Alors tu bondis sur eux en te transformant en renard, ignorant le gémissement puissant de douleur qu’elle poussa lorsqu’ils lui cassèrent les épaules. Paniqués à leur tour, ils lui tirèrent dessus, laissant son corps vidé de vie s’écraser mollement sur le sol. Ta rage n’en fut que décuplée, et tu déchiras d’un coup de griffes la gorge d’un des deux êtres, le regardant s’étouffer dans son propre sang. Le second sauta sur toi, te maintenant dans ses bras. Tu avais l’intention de le mordre, mais une piqûre t’arracha un couinement, et le noir t’envahit, t’empêchant toute résistance.

Le laboratoire. C’était grand, c’était laid. Tu te réveillas dans une cage, assez grande pour te permettre de prendre de l’élan avant de bondir contre les barreaux, claquant des mâchoires. Agressif, tu savais qu’il était hors de question de se laisser faire. Tes griffes grattaient le sol, tu cherchais comment sortir. Mais il n’y avait aucun moyen, et tu étais assez âgé pour t’en rendre rapidement compte. Ta colère n’en fut qu’accentuée, te donnant la force de percuter une nouvelle fois ces barres de fer.

Puis vint le moment des expériences. Une fléchette suffit à te faire perdre possession de tes pattes, qui lâchèrent ton poids, t’obligeant ainsi à rester affalé par terre, sans pouvoir bouger. Ils ouvrirent la cage précautionneusement, et voulurent t’attraper par le cou. Mais ta gueule fonctionnait encore, aussi tu déchiras sans attendre un morceau de main, savourant autant la chair que le cri de douleur qui te répondit. Tu tentas de mordre tout ce qui s’approchait de ta gueule, mais ils réussirent finalement à t’attraper par la peau du cou, tenant tes mâchoires fermées pour que tu ne puisses plus déchirer la chair.

Ils t’attachèrent sur une table, t’empêchant tout mouvement. Un grognement sauvage répondit à cet acte, et tu te débattis comme un diable, essayant de récupérer la maîtrise de tes pattes. Inutile. Ca l’était, et tu t’en rendais compte, malheureusement. Une nouvelle piqûre, et l’inconscience t’emportait encore.

Le réveil dans la prison fut douloureux.

Tu étais faible, plus encore qu’un renardeau nouveau-né. Tes membres ne marchaient pratiquement pas, et tu eus beau tenter de te lever, ils te lâchaient après seulement quelques instants, t’obligeant à t’écraser au sol dans un gémissement déchirant. Tes grognements amusaient les gardes, qui prenaient un malin plaisir à se moquer de toi, faisant enfler la soif de vengeance que tu éprouvais. Tes parents t’avaient appris à haïr les humains, et les voir se servir de toi ainsi te confirmer les dires de ces géniteurs, morts pour te protéger.

Dix ans. Dix ans passaient à subir les tests de ces humains. Dix ans passés à mordre et grogner contre chaque être qui s’approchait un peu trop de ta cage. Le dernier examen t’avais vidé, tu n’avais même plus la force de te hisser un tant soit peu sur tes pattes. Et un nouvel arrivant fut amené, te laissant perplexe. Encore une proie de la soif de connaissance de l’humain, encore un pauvre garçon enfermé de force dans la même cage que toi. Quand il se réveilla, tu l’ignoras tout bonnement, te reposant devant les barreaux. Il n’avait pas besoin de te parler, ton allure donnait assez d’informations pour comprendre que les traitements dont il serait victime ne seraient pas agréables.

Mais plus tu réfléchissais, plus l’idée de te servir  de lui pour partir te caressait l’esprit. Alors, un jour, tu décidas de le lui dire, tes pupilles dorées brillant de colère. Tu avais assez souffert, c’était au tour des scientifiques, maintenant.

Et le grand jour arriva finalement.

Ils pensaient que les fléchettes ne seraient plus utiles. Ils avaient tort. Dès que la porte fut ouverte, tu bondis sur celui qui l’avait fait, et tu lui arrachas la jugulaire d’un coup de crocs. Une mort trop gentille à ton goût, mais tu n’avais pas le temps de le tuer lentement. Bondissant sur le suivant, tu lui fis subir le même sort,  mais un coup t’envoya percuter le mur, t’arrachant un glapissement de douleur. Sans attendre une seule seconde, tu t’engouffras dans la porte ouverte par la mouffette, et lâchas un grognement digne d’un énorme prédateur, alors que tu étais plutôt petit. Voyant l’hybride partir dans une direction, tu décidas de te diriger ailleurs pour dégager le chemin, mais un humain, courant dans la même salle que la mouffette, te fit changer d’avis, et tu galopas comme un fou vers lui, griffant et mordant chaque obstacle fait de chair qui se présentait à toi. D’un bond, tu sautas à la gorge de l’être qui étouffait l’animal, et serras jusqu’à sentir l’os craquer, restant sur le cadavre en reprenant ta respiration, la gueule en sang. Le sourire de l’hybride t’amusa un peu.

-Allons à la chasse à l’homme.

Tu hochas le museau, et tes yeux, brillants de soif de sang et de plaisir, se tournèrent quelques instants vers lui, avant que tu repartes à toute patte à la « chasse à l’homme ». Tes crocs et tes griffes se plantaient partout, mais les humains affluaient, tu sentais que tu ne tiendrais pas si longtemps. Alors que, résigné à mourir, tu continuais sans relâche à tuer un maximum de scientifiques et de gardes, un tremblement dans le sol attira ton attention, offrant à un de tes adversaires la possibilité de t’attraper par la gorge. Un grognement étouffé lui répondit, mais, avant que tu puisses te défendre, un énorme loup lui sauta dessus, arrachant tout bonnement la tête. Un regard presque reconnaissant plus tard, tu repartais à l’assaut, appuyé par les autres hybrides.

La mouffette se présenta de nouveau, alors que tu prenais un malin plaisir à déchiqueter un des humains, un long sourire retroussant tes babines. En sentant son odeur par-dessus celle du sang, tu levas la tête, et croisas son regard. Et tu compris à l’instant ce qu’il voulait, et ce que tu voulais.

Sortir.

Tu le suivis en grattant le sol de tes pattes, et, le voyant foncer dans la porte qui semblait mener à la sortie, tu l’imitas, la culbutant comme un boulet de canon. Quand la porte s’ouvrit enfin, tu t’autorisas un gémissement de bonheur, et plissas les yeux face à la lumière aveuglante. Tu fis demi-tour, attrapas une tenue entre tes crocs et redevins humain, t’habillant ans le noir avant de revenir à la sortie. Mais il fallut bientôt redevenir animal, l’idée étant de rester caché pendant une petite année sous cette forme.

Une fois tes fringues de nouveau retirées, tu fronças les sourcils en voyant la mouffette lorgner ton corps. Finalement, tu haussas les épaules, sans comprendre pourquoi il avait l’air si choqué. Peut-être que tu ressemblais trop à une fille ? Cette simple pensée te fis grogner, mais tu ne dis rien, te contentant de te transformer en renard, encore une fois. Tu aimais être ça, mais visiblement, l’autre non.

Ta forme animale te donnait l’impression d’être réellement toi, Kitsu Senkô, un simple renard, et pas une victime d’expériences toutes plus douteuses les unes que les autres. Chaque matin où tu te levais, chaque proie où tu plantais avidement tes crocs, chaque bain froid mais revigorant que tu prenais te faisait te sentir plus vivant encore, plus … Toi.

Mais la vie en pleine nature n’était pas éternelle et, bientôt, marcher sur deux jambes te manqua. Un soir, alors que vous vous prépariez à dormir, tu donnas un coup de museau à Zach, et lui envoyas un regard presque significatif. Sans attendre d’éventuelle réponse, tu te transformas en humain, tes os se déplaçant, tes poils disparaissant, ton corps nu apparaissant. Un frisson parcourut ta colonne vertébrale, tu te recroquevillas un peu. Il faisait plus froid que tu ne le pensais.

« J’en ai marre de rester comme ça. J’veux découvrir la ville ! »

Semblable à un enfant d’une dizaine d’années maximum, tu croisas les bras, remuant la queue d’un air boudeur. Tes joues se gonflèrent légèrement, et tu plantas ton regard doré dans celui de la mouffette, attendant que cette petite chose daigne t’imiter. Il le fit finalement, pour ton plus grand plaisir. Un sourire victorieux étira tes lèvres fines, et tu te levas brusquement.

« J’ai pas envie d’attendre demain ! »

Tu dis ça, mais l’instant d’après, tu dormais comme un bébé, silencieusement mais profondément. Un souffle léger s’échappait d’entre tes crocs, étalé comme tu l’étais. Tu avais déjà hâte d’être au lendemain, hâte de découvrir ce qu’était une ville. Est-ce que tu pourrais manger, là-bas ? Est-ce que tu pourrais dormir, t’installer ? La forêt, c’était bien, tu n’avais connu que ça, mais tu en étais lassé, maintenant. Peut-être que tu t’amuserais, en « ville » ?

Le matin, tu te réveillas un peu tard, Zach était déjà debout. Ta queue s’agitait gaiement, tes oreilles remuaient avec une impatience digne d’un vrai gamin. Mais après tout, tu étais ça. Un simple gamin, qui avait perdu son enfance dans un laboratoire, et qui, désormais, la rattrapait. Tu ne considérerais jamais Zachary comme ton père, ou quoi que ce soit dans le genre. Mais tu savais que sans lui, tu serais mort depuis longtemps. Malgré ton esprit terriblement enfantin, tu n’étais pas dupe, tu avais conscience des dangers que tu courais avec lui, que tu avais courus avec lui dans ce labo, et que tu courrais certainement, avec lui !

Il était temps de vous mettre en marche. Tu n’avais pas tellement d’affaires, à peine la tenue que tu avais portée dans le laboratoire. Une fois ceux-ci enfilés, vous pûtes enfin partir, laissant derrière vous cet abri où vous aviez vécu pendant assez longtemps. En un sens, tu disais adieu à la vie complètement sauvage. Ta queue s’agitait, tout excité comme tu l’étais. Zachary semblait beaucoup plus calme, et, tout le trajet, alors que tu trépignais d’impatience, il marchait tranquillement, te laissant devancer.

Après une marche qui te parut durer une éternité, la ville se présenta à vous. Après un dernier regard agacé vers la mouffette, tu t’engouffras dedans, sans penser à l’attendre ou même à faire attention. Après quelques pas, tu rentras dans quelque chose, lâchant un grognement un peu trop aigu à ton goût. Un juron te répondit, et l’odeur d’un humain emplit tes narines, te faisant froncer le nez et le couvrir de ton bras. Tu ne t’excusas même pas, et courus vers Zachary, une expression dégoûtée au visage.

« Je viens de bousculer un humain ! Ca chlingue !

Tu espérais qu’il trouve une solution à ce parfum vomitif ambiant, mais, après tout, il était peut-être aussi paumé que toi ? Tu n’en savais rien, et, honnêtement, tu t’en fichais. Plus prudent cette fois, tu retournas dans les rues, reniflant précautionneusement. Ca puait toujours, mais moins. Il suffisait de ne pas trop s’approcher d’eux et … Une odeur délicieuse parvint à toi, te faisant tressaillir. Aussitôt, ton estomac rugit, et tu partis à la poursuite de ce met. C’était des trucs bizarres, tous flasques, dans un bol. Sans demander d’avis, tu en attrapas un et t’enfuis en courant, zigzaguant dans la soudaine foule pour ignorer l’homme qui te gueulait dessus. Après une course folle au milieu des humains, tu réussis à rejoindre Zachary, ton t-shirt trempé de sauce. Mais au moins, le bol était à peu près plein, et intact. Un sourire triomphant au visage, tu le montras au brun.

« Regardes ce que j’ai réussi à avoir ! »

Tu ne l’écoutas même pas lorsqu’il répondit, comme d’habitude, et tu plongeas la tête dans le bol, attrapant entre tes crocs des trucs mous, les fourrant dans ta bouche. C’était trop bon ! Sans attendre, tu en pris la moitié, avant de donner le bol à Zachary, léchouillant le reste de sauce sur ta gueule.

Tu pensais que tout irait bien. Mais soudain, Zach t’attrapas la main et t’emmena dans la foule, à toute vitesse. Il courait, donc tu suivais, et un cri derrière te fit retourner la tête. Tu tiras la langue à celui qui vous suivait, pensant que c’était pour récupérer le bol. Ton regard se tourna de nouveau vers Zachary, qui n’avait pas l’air de s’amuser autant que toi. Alors tu le forças à s’arrêter, tout du moins tu essayas. Rien à faire, il était bien plus fort que toi.

Au bout d’un moment, l’homme au bol avait disparu dans la foule, et tu te mis à crier sur Zachary, agacé.

« Zaaaach ! Sérieux, j’en fais quoi de ce bol, moi ?! »

Il ne répondait pas, alors, sans réfléchir, tu le lanças par terre, et repartis avec Zachary, te retenant de grogner encore. Tu le fixais, derrière lui. Malgré le fait qu’il t’agaçait fortement, tu ne pouvais t’empêcher d’avoir le cœur qui battait trop vite, et tes poings se serrèrent de frustration en le sentant. Tu étais de nouveau silencieux, et vous aviez marché encore longtemps.

Dans la soirée, tes jambes te faisaient mal, tu avais du mal à garder les yeux ouverts. D’une voix geignarde, tu te plains, attrapant le bas du haut de Zachary pour l’arrêter.

« J’suis fatigué … On peut rentrer ? »

Tu lui lanças un regard presque implorant, et il prit ta main, t’entraînant avec lui. Tu parlais de rentrer dans la forêt, mais visiblement, il ne voulait pas. Il vous guida jusqu’à une maison abandonnée, toute vieille et moche, et entra dedans, sans te lâcher. Tes oreilles se rabattirent sur ton crâne, et tu fronças le nez. Ca puait la poussière là-dedans, c’était pas très agréable.

Il y avait une espèce de lit, malgré tout, et tu t’écrasas dedans dès que tu pus, lâchant un « viens » à Zachary, le laissant se glisser à tes côtés. Sans attendre, tu te blottis contre lui en frottant légèrement ta joue contre son épaule. Sa queue te servit de couverture, et tu dormis plutôt bien, mâchouillant ladite queue inconsciemment.

A ton réveil, tu mordillais toujours quelque chose, et il te faut un temps de réflexion avant de savoir ce que c’était. Tu crachas sur le côté une poignée de poils, dégoûté.

« Berk Zach t’as foutu tes poils dans ma bouche ! »

La queue était toute mouillée à cause de ta bave, ce qui te fit éclater de rire. Tu tiras la langue en le voyant s’énerver, et n’écoutas rien, remuant joyeusement la queue.

Tout se passa à merveille pendant 3 ans. Tu découvrais la ville, Zach t'expliquais quelque chose dès que tu lui demandais, bref, la belle vie. Bon, les bols de trucs visqueux - des nouilles, apparemment - tout bouillants, c'était pas génial quand tu te brûlais, et aussi, la maison était un peu délabrée. Mais ça t'amusais de poser pleins de questions comme un gamin. Pourquoi par là, qu'est-ce que c'est ça, où on vas, comment ça s'fait que c'est chaud comme ça ... Bref, t'avais enfin l'impression d'être un gosse. Ton enfance perdue retrouvée, quoi. ~

Mais t'en avais un peu marre. La forêt, elle te manquait, et pas qu'un peu. Un jour, alors que vous marchiez dans les rues, tu tiras légèrement sur le t-shirt de Zachary, et tu demandas en le fixant.

« Zach ... J'veux retourner dans la forêt. »

Il te suffit d'un simple regard pour qu'il accepte, et vous aviez repris le chemin de votre ancienne demeure. Dès que tu le pus, tu viras tes fringues et devins un renard, sautant sur Zachary en lui léchouillant la face. Tes marques d'affection étaient rares mais assez ... Violentes.

Et voilà, maintenant, vous habitez en forêt, mais vous continuez quand même à aller en ville, pour voler les humains, tout ça quoi. La belle vie. ~






Qui es-tu ?



Je me présente, je m'appelle Cedella mais on me connait plutôt sous le nom de Pocky-girl et je suis âgée de 14 ans. Le personnage que j'occupe sur ce forum est Chen de Touhou Project ~ , et j'écris environ 30 lignes en RP. J'ai trouvé Hybrid Fascination sur NnS et je le trouve nice nice . Pour finir, Graw .



Dernière édition par Kitsu Senkô le Jeu 26 Sep - 13:30, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Jeu 5 Sep - 13:16

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Kitsu Senkô
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Sam 14 Sep - 19:51

Désolé ! owo" Oui je sais, ça met du temps, mais avoir une panne d'inspi dans ces moments ça aide pas ... En tout cas, c'est bientôt fini ! ><"
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Dim 22 Sep - 12:18

Double post pour up, j'ai ( enfin ) fini ! :DD

Désolée pour le temps .. ><"
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Mer 25 Sep - 18:12

Bienvenu à toi =D

Je te valide dès que tu auras changer l'orientation sexuelle xP
Aussi, juste faire attention à la force de ton personnage, les renards ne sont pas réputés pour être fort contre les humains.

Au plaisir de pouvoir te valider =3
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Jeu 26 Sep - 13:32

Badoiiiir.

Alors j'ai modifié pour l'orientation sexuelle - même si j'aimais bien mon "Blêh". D: - et pour la force ... J'ferais gaffe. ~

Merci.
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   Jeu 26 Sep - 16:11



Bienvenu parmi les fous!!! =D
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MessageSujet: Re: Kitsu Senkô, ou le renard légèrement androgyne. ~ [ Finished. ]   

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