Mon enfance a été bercé par les cris des hybrides que mon père s’amusait à battre et à torturer un peu partout dans la maison, il était dresseur et c’est lui qui m’a appris toutes les ficelles du métier. Je ne proviens pas forcément d’une famille riche mais nous avons les moyens de vivre correctement, et surtout de ne manquer de rien. J’ai reçu une éducation des plus strict, mais comme tout enfant j’étais turbulent je ne voulais pas écouter alors je fuyais les cours, allant dehors ou au centre de dressage où j’espionnais mon père faire son travail, j’espérais vraiment devenir comme lui, de toute façon ce n’est pas avec le si peu que j’étudiais que j’aurais réussir ma vie. Vers le début de mon adolescence, mon père me prit sous son aile et m’appris comment dresser des hybrides chats puis plus gros au fur et à mesure, évidement je testais mes compétences sur des hybrides déjà dressés, genre ceux qui travaillaient dans notre maison et un jour sans vraiment le vouloir j’en tua un, mon père me félicita, j’aurais cru qu’il aurait été déçu de perdre de la main d’œuvre mais pas du tout, il me jugeait prêt pour l’étape suivante, nous avions passé commande chez un mercenaire célèbre, Raziel, il nous a fourni de quoi me quoi me faire la main, des hybrides ours et lions.  C’est ainsi que trois années plus tard à force d’entrainement je fini par devenir un dresseur et travail comme tel au centre de dressage. Aujourd’hui âgé de 21ans, je vis seul dans un appartement au-dessus du sex-shop. Pas très glorieux comme situation, mais je compte bien trouver une hybride, la dressée pour qu’elle me rapporte de l’argent et enfin avoir une maison digne de moi, quoi je suis hautain ? Si seulement vous saviez… Je t’attends hybride, mon fouet est prêt. Quoi? Vous en avez pas assez sur moi... Bien je vais vous raconter comment j'ai tué cette hybride chez moi, ça remonte à mes quinze ans, j'étais jeune et fougueux comme aujourd'hui. J'avais demandé à cette stupide créature de m'apporter un plateau repas pendant que je travaillais sur certains documents pour l'entretient de la maison (mes parents étant toujours occupés ailleurs), elle mit cinq minutes de plus, prétextant ne pas trouver les couverts, une piètre excuse selon moi, cela faisant trois jours qu'elle était ici. Prenant alors mon fouet je frappai encore et encore son visage son corps. Je la sentais se répandre sur mon sol, des flaques près de mes pieds, et tout ce que je trouvais à faire, c'est rire. Évidement papa à été content comme je vous l'ai dit, mais il à dû masquer l'affaire et me faire promettre de plus jamais en tuer une... Je ne savais pas que les lois protégeais la vie de ces bêtes.. Soyez sans craintes, enfin non, j'ai pleins de nouvelles idées pour dresser ces créatures... Mon sadisme n'a d'égal que mon imagination..