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 La vie est un échiquier | Joss

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Joss Venta
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MessageSujet: La vie est un échiquier | Joss    Sam 13 Juil - 6:57





Nom : Venta
Prénom : Joss
Âge : 34 ans
Sexe : Masculin
Métier : Chef de police
Statut : Bad master
Orientation Sexuelle : Homosexuel



Joss Venta

« En évitant le tigre, on rencontre le crocodile. »




Physique


Taille : 1m55
Poids : 60 kg
Corpulence : C’est un homme de bureau et cela se voit même d’après sa silhouette fine peu adapté pour poursuivre un criminel en fuite.
Cheveux : Des cheveux courts brun foncé de naissance mais avec des mèches pas toujours de la même couleur. Sa coupe maintien le doute quand à son sexe.
Yeux : Les yeux de Joss sont de la couleur d'un bois de châtaigner et dont la forme en amande indique son origine asiatique côté maternelle.  
Forme du nez : Son nez est très petit, se remarquant à peine sur sa figure.
Forme du  visage : Il est doté d’un visage efféminé malgré son front large et sa peaux d’un teint légèrement jaunâtre.
Torse / Poitrine : Aussi plat et sans relief que sont ventre.
Musculature : On ne peut pas dire qu’il soit très musclé. Sa morphologie est ainsi faite et il ne fait pas souvent du sport pour rendre son corps plus résistant est solide.  
Style vestimentaire : Ses tenus sont une composante importante de sa personnalité et il y attache un soin particulier en veillant à ne pas passé inaperçu.
Particularités : Des boucles d’oreille qui dépendent de ses vêtements du jour.  
Complexe : Il déteste ses dents fines et pointue qui lui donne une tête de requin et qui ne sont pas si immaculé à force de boire de café.



Mental


Joss est un véritable acharné. Il a choisi son métier et lui a donné son âme. C’est un peu l’image du patron tyrannique qui cherche à tout contrôler mais à une échelle moindre. Faire le travail des personnes qu'il dirige ne l’intéresse absolument pas, il l’a déjà pratiqué le métier de policier quelques années et cela lui a suffi largement. Néanmoins il n’est pas du genre a garder les pieds sous le bureau. Il a de la niaque, si bien qu’on le surnomme parfois la croco. Il fait mine que ses ragots n’arrive pas à ses oreilles mais il est conscient de l’image qu’il inspire. Malgré son attitude têtue et intraitable, il se montre plutôt agréable face à la plupart des gens. Tant que votre tête lui revient, tout vas pour le mieux. Ce qui élimine tout de même les petits et les hybrides. Il est sociable et ne manque pas d’encourager son équipe quand celle-ci le mérite vraiment. Enfin, vous l’avez compris Joss ne distribue pas des compliments à tour de bras mais il essaye d’être juste. Quoi que vous fassiez il sera franc avec vous. C'est une véritable tige de fer qui ne change que très rarement d’avis et n’avoue jamais ses tords. La meilleurs solution est de ne pas le contrarié et encore moins le critiquer. Ses défauts sont de la même valeur que ses qualités, si bien que souvent, on l’aime ou on le haït dés le premier regard. Pour finir, l’aspect le plus surprenant est son attachement pour son apparence. Il est un peu androgyne de nature et il force un peu le trait de son physique pour donner le change. Joss apparaît comme un extravagant pour ce genre de petit détail qui le distingue des autres.




My Story




Bangkok - 02.08


Au cœur d'un pays riche de saveur et d'effluve de spiritualisme, où de somptueuses plages essaye de concurrencé le charme mystique des forêts se niche une immense métropole surnommé la cité des anges. C'est dans cette charmante capitale de Thaïlande que la famille Venta a choisi d'élire domicile. Et c'est même en ce jour qu'elle donne naissance à un petit garçon qu'ils nommèrent Joss. Nul ne su dire si les parents du garçon avait choisi ce nom à consonance anglaise, car ils l'aimaient particulièrement ou à cause de l'influence de l'occident dans leur vie de tous les jours. Car en effet, les Venta vivaient en symbiose avec ses grands pays d'Europe. De lointains parents du père de famille étaient d'ailleurs anglais. Mais c'était il y a plusieurs générations et les Venta étaient à présent très bien intégré dans le pays. Ils profitaient également d'un certain luxe ayant une entreprise à leur nom. Ils n'étaient pas milliardaires, mais ils vivaient aisément comparés aux nombreuses familles pauvres du pays. Joss ne pouvait pas vraiment compter sur l'attention de ses parents, car ils étaient toujours occupés. Passé les premiers mois la mère du garçon le confit à une nourrice pour qu'elle puisse de nouveau travailler avec son mari. Joss n'était pas malheureux, mais il avait un caractère bien affirmé dès le plus jeune âge. Ce que pouvait surtout dire c'est qu'il était sûr de lui.





La vie est un échiquier | Joss  Sans_t19


Le ronronnement d'une machine remplit la pièce de bruit, couvrant le silence. Il s'agissait d'un ventilateur d’où émettait une once de fraicheur dans une sorte de râle. Son agonie était lente et inutile car il brassait l'air plus qu'il n’en diminuait la température. Néanmoins, chacun de ses passages étaient plus agréables que cette atmosphère bouillonnante qui vous rendez moite en quelques secondes. Juste devant était posté le petit Joss âgé de six ans. Il avait les yeux fermés et il essayait de s'imaginer la morsure glaciale du froid dans les plus hautes montagnes du monde. Il n'avait pas beaucoup d'imagination pour ce genre de choses, mais il aimait lire les histoires. Et elles disaient qu'être glacé était une sorte de blessure qui vous agresse la peau. Dur de l'imaginer dans cette région ou 18°C est considéré comme glaciale et ou l'eau courante est à température ambiante.

- Joss ! Prépare-toi pour ton cours. Ton professeur ne va pas tarder.

Le garçon tourna la tête vers sa mère qui ne faisait que passé, le regardant à peine, préoccupé par le reste de sa journée. Il fronça les sourcils, ennuyé de ne pas avoir plus d'importance pour elle qu'un rendez-vous programmé depuis des mois. Il fit mine de ne pas l'avoir entendu et retourna dans ses pensées, les paupières closes. Les minutes s'égrenèrent et il reprit une mine tranquille, songeant naïvement que son professeur particulier devait être retenu ailleurs. Sut était trop beau.

- Ce n'est pas vrai ! Tu n'as pas bougé ! Aller mon garçon, remue toi.

- Attend. Fit-il avant qu'elle ne reparte.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Je ne suis occupé.

Le petit hésita quelques instants puis fini par dire le fond de ses pensées.

- Je voulais savoir... Est-ce que tu as déjà vue la neige ?

- Quoi ? C'est pour ça que tu me déranges ? Franchement Joss, je ne sais pas ce qu'on va faire de toi. S'exclama-t-elle en agitant les mains. Tu vas avoir leçon dans quelques minutes, tu ne crois pas que ce soit plus important que tes rêveries ?

- Eh en faite...

- Ses cours à domicile nous ont couté les yeux de la tête à ton père et à moi. Tu crois qu'on aime bien jeter de l'argent par les fenêtres ?

Le jeune thaïlandais eus un petit frisson dans le dos. Il baissa la tête et ne répondit pas. Il ne pleurait presque jamais depuis qu'il était petit, ce qui ne l'empêchait pas d'être vraiment triste.

- Joss... Ecoute, nous verrons ça plus tard, d'accord ?

- ... Oui.

Elle soupira et le pris par l'épaule.

- C'est pour toi que nous faisons tout ça, ce n'est pas une punition.

- Je sais murmura-t-il en un souffle.

Ils profitèrent tous les deux de ce contacte. Ils étaient rares il faut dire. Joss savait que ses parents l'aimaient, ça se voyait parfois. Mais ils l'exprimaient d'une façon si distante qu'il avait parfois du mal à s'en apercevoir. Et le fait d'être fils unique ne l'aider pas. Il finit par se remettre à sourire. Sa mère jeta un coup d'œil à l'heure et se détacha de lui.

- Bon, il va être là d'un instant à l'autre. Tu écoute bien et nous discuterons après, promis ?

- Promis.


La vie est un échiquier | Joss  Sans_117


Damnoen Saduak, le marché flottant, il n'y a pas meilleur endroit pour discuter affaires avec des financiers étrangers. Ils en prennent plein les yeux et les oreilles en dix minutes de promenade et ensuite ils ont le droit à un repas local avec les produits de base qui s'achètent sur place. C'était une technique commerciale comme une autre, mais elle faisait plaisir aux deux camps. Habituellement le couple n'y amener pas leur enfant, il était jeune et la plupart du temps, occupé par ses études, mais récemment il avait eu de bons résultats et ils lui proposèrent de venir. Joss en était très heureux, il n'y était jamais allé, restant au centre-ville qui recèle déjà beaucoup de boutique et lieux intéressant. A présent il avait neuf ans, ce n'était plus un gamin.

- … Et voilà Joss. Notre fils unique. Indiqua Mr.Venta en présentant le garçon.

Il se tenait près de ses parents, jetant des coups d'œil furtifs, plus vers le marché qu'en direction des hommes d'affaires. L'eau était parsemée de pirogues contenant de nombreux produits de la vie de tous les jours, fruits légumes et épices. Un concert de couleur chaotique qui se frôle et se mêle. Le seul inconvénient est le nombre de touriste qui se concentre dans cette attraction atypique. Pour Joss c'était juste sublime. Par contre, il avait du mal à imaginer mal sa mère en costume traditionnel prendre place parmi les vendeuses, mais cela le fit rire. Les adultes étaient trop absorbés par leurs discutions pour le remarquer. Il s'en félicita et s'approche du bord du sempan. L'air était plus doux au bord du Klong.

Il surprit son visage dans l'eau. Les ondes déformés ses traits, mais il reconnaissait bien ses cheveux rebelles qui lui donnait une allure si féminine. Son regard en revanche était bien fixe, déterminé. Il voulait prouver à ses parents ainsi qu'aux autres qu'il était capable de faire quelque chose. Ce n'était pas un faignant, loin de là, il réclamait juste un peu d'attention. L'eau devint plus limpide. Joss s'en étonna, car il avait senti la présence d'une pirogue de son côté. Il redressa la tête et avant qu'il ne voit l'embarcation, il remarqua une silhouette qui serpentait sur l'eau. L'ombre d'une personne debout qui tendait un objet dans sa direction. Il se redressa sur-le-champ et vis l'arme.


La vie est un échiquier | Joss  Sans_116


Joss se figea, terrifié. Il fixa le canon du revolver, crispé comme jamais. Il avait une vague idée de ce qui se cachait derrière le flingue. C'était une femme dont l'aspect ressemblait à toutes les autres commerçantes du marché. Il ne pouvait le dire avec exactitude, car il n'osait pas quitter l'instrument de mort des yeux. Une réaction stupide face au danger, il ne pourrait pas arrêter la balle d'un simple regard alors quel intérêt ? Son plus grand exploit du moment consista à bouger légèrement la main, il n'arriverait pas à commander plus à son corps. Une idée fugace lui traversa l'esprit. Il pourrait se lever, sauté sur l'autre barque, baisser le chapeau en bambou tressé et lui prendre son arme... Cela semblait être à sa portée durant deux secondes.

Passé ce délai, sa raison reprit le dessus et lui empêcha la moindre action. Il ne sut combien de temps c'était déroulé depuis qu'il avait vue l'agresseur, mais les choses changèrent en un éclair. L'arme se tourna vers la droite, visant le centre du bateau et un rugissement redonna vie à tout ce qui se trouvait autour. Joss poussa un cri avec autant de force qui lui manquait jusque là. La balle s'enfonça d'un la tête de l'un des adultes, le faisant s'écrouler de son long et projetant de nombreuses gouttes de sang. Le reste, Joss ne s'en souvint plus trop. Il fixait le corps avec horreur, le son du coup de feu emplissant encore ses oreilles. Il observa le visage de la victime ravagé par la balle aussi longtemps qu'il put, pouvant en décrire chaque détail.

Son père se tint devant lui, tenant son visage dans les mains. Il lui caressa la tête longuement, l'empêchant de regarder ailleurs. Il murmura des mots que son fils ne comprit pas. De longues phrases rapides supposé le rassurer. Une litanie qui ne semblait jamais prendre fin. Mais le garçon, lui, revoyait la scène encore et encore, imprimé dans sa mémoire. Et le sang. Et les cris...


La vie est un échiquier | Joss  Sans_118


La vie n'avait plus aucune couleur et ce depuis l'incident. Voilà comment ses parents avaient appelé ça. L'incident... Quel euphémisme. Comme si réduire un mot pouvait également en diminué les effets. Une personne était morte. On peut utiliser tous les mots de la terre pour le décrire, mais les faits sont là. Joss avait enduré cette scène à l'âge neuf ans. Son enfance avait été écrasée par ses quelques secondes qui vous font devenir un adulte... sans pour autant avoir quitté l'enfance. Il ne connaissait rien de cet homme qui avait trépassé, mais cela ne changeait aucunement la vision d'horreur qu'il revivait dans les pires moments. Elle était indélébile. Une sorte de déchirure qui lui avait enlevé les bons souvenirs et la couleur. Elle lui manque parfois cette notion abstraite qui change votre regard. Enfin c'était une vue de l'esprit. Il distinguait bien le rouge du jaune ainsi que toutes les nuances de verts, mais elles ne signifiaient rien. Tout lui semblait fade et sans goût.

- Hey mec ! Oh ! Oué toi ! Beugla un élève.

Car Joss avait obtenu la chance d'être dans une école. Son psychologue avait suggéré qu'il soit entouré. Cela devait l'aider à "exprimer son vécu et se socialiser" selon les dires du médecin. Sa proposition datée de cinq ans. Résultat, il ne parlait à personne tant que ce n'était pas indispensable, il était poli, mais absolument pas curieux et il ne demandait jamais du soutien. La seule chose qui lui importait c'était de décrocher de bonnes notes.

- Oui ?

- On sait que t'as une tête, mais est-ce que t'as des jambes ? Remarqua le même garçon.

Joss, dans la même idée d'économiser des paroles inutiles le questionna d'un regard, les sourcils en biais.

- Il nous manque un joueur, continua un autre. Tu veux venir ?

Cette fois, il détailla le dernier à avoir pris la parole avec attention. C'était un eurasien plutôt petit et carré qui affichait un air tranquille. Une assurance que possède surtout les dragueurs et toutes personnes conscientes de leurs charmes. Il n'avait rien d'antipathique et c'est ce qui surprit le garçon. Habituellement, tout le monde lui semblait déplaisant. Qu'on éprouve de la compassion, de la gêne, de la colère, de l'amitié... tout le crispé. Mais dans ce cas, absolument rien. En fait, Joss se retenait d'accepter sa proposition sur-le-champ. Qu'est-ce que ce jeune homme avait d'exceptionnel ? Il aurait bien aimé s'interroger davantage, mais il devait surtout donner une réponse.

- Euh... Non... J'ai beaucoup de choses à faire.

Puis il se tourna, mettant son sac à l'épaule. Le rouge lui monta aux joues. Mais qu'avait-il ? Ne pas être maitre de ses émotions le troublait beaucoup. Cette gêne dura une bonne semaine.


La vie est un échiquier | Joss  Sans_119


- Vous avez du feu ? S’enquit Joss en mettant sa clope à la bouche.

Monsieur Venta avait tous justes dix-sept ans et il goûtait à l'interdit et à la cigarette. Le pays était très rigoureux à ce niveau, mais le garçon s'en moquait bien. Il crachait ses angoisses dans un nuage de fumer. Il avait un groupe d'ami avec qui il restait régulièrement à la fin des cours. Cela pourrait être une bonne chose pour quelqu'un d'aussi solitaire de Joss cependant ce n'était pas par affinité qu'il était avec eux. Ils avaient surtout le même mépris pour la vie. Elle ne leur avait pas fait de cadeau et ils se vengeaient en la gâchant un peu plus.

- Yeap, évidemment. Son camarade marqua une pause. Dit, on a entendu parler d'un truc.

- Hum, quoi ?

- Un concours pour décrocher un voyage au Japon... Ça te tente ? Si on le fait juste nous deux on ne risque pas d'y arriver, mais avec toi on a une chance.

- Sérieux ? ... Et c'est quoi ce concours ?

- Faire une espèce d'exposé... Tout est marqué là.

Joss attrapa la feuille. Suivre les cours, rendre les devoirs... C'était la seule chose à laquelle il se raccrochait. Mais toujours sans envie. Il inspira et souffla la fumée aussi sec. Là il sentait jaillir un peu d'intérêt pour quelque chose. Jusqu'à présent il demandait en vain pourquoi bosser. Pas pour lui et à présent pas plus pour ses parents. Alors, dans quel but ? Une question qui restait en suspend et le laissé encore plus indécis face au futur. Les uniques personnes avec qui il traînait le regardèrent dans l'attente d'une réponse. Elle ne vint pas. Il abandonna les deux autres sans rien dire. Il était en réalité plus que partant pour essayer... Car rien ne garantissait qu'il gagne le concours. Pourtant, il voulait faire son possible.


La vie est un échiquier | Joss  Sans_120


Deux mains qui se serrent, s’enlacent, s’agrippent, tout ce qu’elles peuvent pour ne pas se séparer. Une certaine douceur émanée de partout. Impossible d’y échappé. La fluette lueur de la lune filtrée à travers les volets. Pour deux hommes, un souffle. Une symphonie raisonnait dans leurs têtes. Une sublime, agréable, délectable musique qui les fit sourire. En cet instant ils étaient seuls sur Terre et chacune des parcelles de leur peau transpirait l’amour. Le garçon maudit de Thaïlande en vint même à oublié son fléau. Cette nuit était la sienne, il ne la partagera pas avec ses cauchemars. Auprès de lui se trouver un jeune homme japonais qu’il avait rencontré dans son pays.

Joss n’était là que depuis trois mois et le voilà rayonnant comme jamais. Non seulement il avait réussit le concours pour passé une année scolaire au Japon, mais en plus ses parents l’avaient presque poussé dans cette voie. En voyant son excitation au vu de ce voyage ils ne pouvaient qu’être heureux pour lui. Ils espéraient depuis longtemps qu’il oubli certain détail de son passé. Et maintenant qu’il était là… il ne voulait plus repartir. Ce nouveau pays lui offrait une vie neuve dont il rêvait. Peut-être qu’en fin de compte il savait ce qu’il voulait faire de son avenir. Zakuro, son ami et à présent amant se tourna vers lui, essayant de percé ses pensés de ses yeux corbeaux. Il se mordit l’intérieur de la joue, ce qu’il faisait quand il réfléchissait.

- … Tu veux vraiment faire le reste de tes études ici ? Tu le jure ?

Le thaïlandais s’amusa de sa perplexité. Faire de tel choix ne lui prenait pas beaucoup de temps. Il suffisait qu’il le décide et il le faisait, c’était aussi simple que ça. Joss n’était pas indécis de nature. Au lieu de répondre il l’observa essayant de se souvenir précisément de leur première rencontre. Il était un peu perdu dans cette partie qu’il connaissait mal et restait souvent avec ses deux amis de sa précédente école. Mais bien vite ils se détachèrent et Joss dus créer des liens avec des étrangers qui ne parlait même pas sa langue. Zakuro fut le plus patient de sa classe, le garçon l’amusé  par son accent mais l’intriguait aussi. Et quand il apprit le mot neige à son camarade ce dernier voulu savoir s’il en avait déjà vu. Ce n’était pas un événement rare au Japon et ça fit vraiment rire Zakuro.

- Oh. Encore perdu dans tes pensés, génial. J’ai le droit d’y faire un petit tour ou bien tu vas encore t’esquiver ? Tenta le japonais.

Le destinataire fus encore une fois étonné de la manière dont il le percé à jour. Les yeux dans le vague Joss pensa fugitivement au passé, plus loin dans sa mémoire. Il hésita un peu, débâtant avec lui-même puis il fini par lui avoué tout. Son enfance, quelques miettes de souvenirs dont il se rappelait puis le meurtre et le vide qu’il y avait depuis dans son âme. C’était la première personne à qui il en parler comme ça. Il se sentait même vulnérable de tout raconté ainsi. Ses parents avaient vécut la même expérience mais pas avec les mêmes yeux. Une fois qu’il eu tout dit il se sentit… étrange. Pas vraiment mieux ni plus mal. Juste… lui-même. Tout deux ne prononcèrent pas une syllabe jusqu’à ce que le thaïlandais conclu.

- Voilà ce que je cache dans mes pensées…

- … Joss, murmura Zakuro. Je suis désolé…

- De quoi ? Tu n’y es pour rien, fit l’autre en haussant les épaules.

- J’aurais aimé… Te soulageait plus tôt de tes souvenirs. Je ne sais pas comment tu fais pour tenir debout. Tu as une force d’esprit incroyable.

- Ah ?

- Moi en tout cas je me serais effondrais depuis longtemps.

- Si seulement ça me servait à quelque chose , se surprit-il à penser.

Zakuro dégagea quelques cheveux de son front et mis sa tête contre le sienne. Puis il se dégagea et revint finalement pour lui déposé un baisé dans le coin des lèvres.

- Je te verrait bien faire flic.  


La vie est un échiquier | Joss  Sans_t20


Les casiers étaient sagement alignés sur plusieurs longueurs encadrées par des bancs. Là se trouver un homme de la soixantaine avec des cheveux poivres et sels. Il observait la pièce qu'il avait connue il y a deux ou trois dizaines d'années. Il n'était pas vraiment un sentimental, mais cela lui paressait étrange de revoir cette salle après tant de temps. Il s’assit, profitant du calme pour s'attarder. Ses yeux glissèrent sur un cassier au nom de J. Venta. C'était un bon élément il le savait, mais pas exceptionnel par ses résultats. Ce qui comptait surtout c'était sa détermination. Et peut-être son sale caractère. Ça lui aura au moins permis à se faire remarquer.

Au début, son chef Dai avait du mal à le cerner, pas d'attache, toujours un peu en retrait, mais qui ne se fait pas oublier pour autant, à fond dans ce qu'il faisait sans pour autant avoir de réelle ambition. En faite, tout ce qui importait à Joss était de boucler des enquêtes. Lui il avait une famille, une passion pour les jeux de cartes qu'il ne cachait pas, une stricte obéissance aux règles et mille autres détails qu'il était facile de connaitre en écoutant les bruits de couloirs. Dai n’apprit quelque chose sur lui qu’un an après son embauche. Ce dernier concevrait une sorte de vengeance qui lui permettrait de se débarrasser une fois pour toute de ses démons. Dai le savait car c’était lui qui avait apprit au jeune les détails du meurtre auquel il avait assisté. Leur discussion avait brève mais elle avait permis au futur retraité d’en apprendre beaucoup sur son remplaçant.

Joss tenait à connaitre les détails du vieux dossier qui le concerner grandement. Son supérieur avait fait en sorte qu’il n’y ait pas accès. Évidement, le jeune flic était venu le voir furieux et résolu à connaître le contenu du dossier.  Le commissaire ne lui avait pas cédé de terrain mais il fit face, une fois de plus, à l’obstination du garçon. Ce dernier répliqua qu’il pourrait obtenir l’information de ses propres moyens. Dai fut donc contrait de le mettre au courant. Il se rappeler encore de c’est mot et de la réaction de Joss.  

- La meurtrière se nomme Stella. Elle est soupçonnait d’avoir commis deux autres meurtres.

Dai était mal à l’aise mais il faisait en sorte de ne pas le montrer, fixant le rapport qu’il tenait dans les mains comme s’il essayait d’y trouver un détail jusque là inconnu. Le jeune flic trouvait ses informations un peu minces.  

- Quel est son nom ? Pourquoi ne l’a t’ont jamais arrêté ?

- Ah, c’est une petite fugueuse… Elle a était enfermé pendant cinq semaines mais elle a réussit à s’échapper avant son procès. Quand a son nom, elle n’en a pas officiellement. C’est un hybride.


Depuis ce jour, le jeune homme s’était mis en tête de la coincer et c’était mis à se méfier les créatures humanoïde qui hanter sa ville. Plus que de la rancœur, c’était une vieille peur qui le poussé à avoir des préjugés sur eux. Il n’était pas pour autant injuste avec eux, mais il les considérait souvent comme les principaux suspects. Néanmoins, l’ancien commissaire ne doutait pas de sa décision. Bref, Joss était quelqu'un d'assez atypique à sa manière et c'était sans regrets que l'ancien chef de la police à présent retraité lui laissait la place.



Qui es-tu ?



Je me présente, je m'appelle Manon mais on me connait plutôt sous le nom de Rêverie et je suis âgée de 19 ans. Le personnage que j'occupe sur ce forum est Personnage sur ton avatar , et j'écris environ 30/40 lignes en RP. J'ai trouvé Hybrid Fascination sur un top site et je le trouve awesome . Pour finir, wesh bro, un rp ?

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MessageSujet: Re: La vie est un échiquier | Joss    Lun 15 Juil - 13:42

Welcome !
Je sais que ton histoire est bien longue, mais quelques fautes me dérangent comme « J’aurais aimé… Te soulageait plus tôt ... » Te soulager.
Fin bref, fais attention. ^^

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Joss Venta
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MessageSujet: Re: La vie est un échiquier | Joss    Lun 15 Juil - 14:13

Oh merci bien ! o/

D'accord je ferais gaffe.
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MessageSujet: Re: La vie est un échiquier | Joss    

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